Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Si vis pacem, para bellum

 

Dans le Canard Enchaîné de ce mercredi 22 septembre 2010, page 3, un article intitulé :

Le patron des armées annonce les prochaines guerres

tend à corroborer mes sources et annonce ce que j'annonçais moi-même dans un article sur Le Post en avril 2010 dans mon article :

L'arme secréte de Nicolas

Mais Nicolas ne semble pas vouloir se satisfaire d'une guerre civile, il prépare, dans le plus grand secret, la troisième guerre mondiale qui lui permettra de se maintenir sur le trône de France et de considérablement augmenter ses pouvoirs régaliens.

Hélas, notre bon président qui court trente six lièvres à la fois a totalement oublié qu'il avait mis en oeuvre la fin de l'armée de métier et son remplacement par l'armée à la mexicaine !!!

En effet, dans un souci louable d'économies, l'armée ne recrute plus que des CDD de cinq ans. Ensuite, les soldats sont remplacés par de nouveaux !!!

Pourquoi ? tout simplement pour éviter de payer des retraites aux soldats (renseignez-vous vous verrez que je ne dis que la vérité !)

Ainsi, l'armée de métier est devenue une armée de bleues bites qui n'ont même pas le temps d'apprendre le maniement des armes avant de se retrouver sur le trottoir de la caserne !

Nous perdrons rapidement la prochaine guerre et nous serons gouvernés par les Chinois qui se serviront de notre patrimoine avec allégresse.

vive la France et les bidasses en folie !

Commentaires

  • L'arme secrète de Nicolas ? je croyais que c'était Carla ... on l'envoie sur le front distraire les soldats et les armées ennemies déposent les armes.

  • Il va y avoir certainement la guerre, on refuse de payer la note de chauffage des palais de la Reine ! Ca va chauffer ...


    Quand la reine tente de faire chauffer Buckingham Palace... par un fonds social
    France Info - 18:41 Le quotidien britannique The Independent révèle que la reine Elizabeth II a fait demander à un fonds public de l’aider à payer les factures de chauffage de Buckingham Palace et du château de Windsor. Mais ce fonds a normalement vocation à aider les foyers modestes à payer leurs factures. Une affaire qui relance la polémique sur le coût de la royauté britannique.
    Ce fut probablement la réponse négative la plus difficile à écrire par un fonctionnaire de toute l’Histoire du Royaume-Uni. Heureusement pour lui, on ne risque plus sa tête aujourd’hui à dire “non” à la reine d’Angleterre.

    Le quotidien britannique The Independent révèle que la reine Elizabeth II a demandé à faire financer le chauffage de ses deux principaux palais, Buckingham Palace et le château de Windsor par un fonds social public. C’était en 2004. Le problème, c’est que ce fond a pour vocation d’aider les ménages modestes à payer leurs factures. Une catégorie dans laquelle le couple royal britannique n’est a priori pas répertorié.

    Au ton de la réponse officielle, il est facile d’imaginer le nombre de brouillons qui ont dû être écrits la sueur au front, en pesant chaque mot. Le fonctionnaire a pris sa meilleure plume pour refuser la demande, multipliant respectueusement les arguments. Il écrit notamment à Sa Majesté Britannique : “Je me sens également un peu mal à l’aise par rapport à la couverture médiatique probable” que cela susciterait si “le palais recevait une aide au détriment, par exemple, d’un hôpital”. Et il termine sa courageuse missive par un très british “Désolé que cette réponse ne semble pas plus positive”.

    The Independent rapporte que les services de la reine cherchaient de nouvelles sources de financement pour le chauffage des palais, dont les factures s’envolaient : plus d’un million de livres (1,18 million d’euros) en 2004. Un porte-parole du Palais a confirmé que la demande avait été faite, mais il précise que la reine et ses services ignoraient que ce fonds était destiné à des foyers modestes.

    Mais l’affaire relance une vieille polémique en Grande-Bretagne, sur le coût de la royauté pour les finances publiques. The Independent ne se fait d’ailleurs généralement pas prier pour le souligner. Les contribuables britanniques doivent en effet débourser 38 millions de livres (presque 45 millions d’euros) chaque année pour la monarchie. A peine 62 pences (72 centimes d’euros) par habitant, fait valoir le palais. Mais par les temps qui courent, il y a des additions qui passent mal.

  • Quand je pense qu'on n'habite pas la véranda en hiver à cause des frais de chauffage que cela entraînerait d'y vivre ....... t'as pas une adresse de fonds d'aide au chauffage des vérandas, par hasard ?

  • Les anglais n'ont qu'à acheter un mannequin empaillé avec une perruque qu'ils promèneront dans un beau carrosse cela leur fera à peu près le même usage ...

  • Et si tu faisais office de mannequin ! ça ne leur coûterait rien et toi, ça te ferait une petite occupation et des visites de Londres à l'oeil ! Mais supporteras-tu la perruque ???????

  • Je cause pas anglais ...

  • Demande-t-on à un épouvantail de parler ?

    Je te donnerai quelques leçons, tu verras, c'est très facile .... tu "wave" avec ton mouchoir blanc, tu opines du chef, tu branles ta perruque et tu te mouches de temps en temps dans le rideau du carosse (pour ne pas salir ton mouchoir).

    Arrivé à Westminster, tu prends à gauche et tu franchis le Rubicon (une espèce de fleuve sur lequel est jeté un pont anglais très laid) .....
    Tu continues sur Lexington avenue , sans te presser et quand tu dépasses Manchester, tu reviens sur tes pas en agitant ton mouchoir avant de t'engouffrer dans Trafalgar la mouquère incognito (je te suggère de te munir d'un cabas dans lequel tu pourras dissimuler ta perruque le temps de ressortir du côté de Soho ..... attention, le quartier est chaud, ne te retourne pas sur ton passage tant que tu n'atteins pas Big Ben !

    Enfin, tu termines dans le palais de Buckingam avant de rentrer à ton hôtel de slaughter et de la marmotte réunis.

    Tu vois, rien de bien compliqué !!!!!

  • Il faudra que je me fasse greffer de grandes oreilles comme le prince Charles pour avoir l'air plus royal ...

  • Je crois qu'il est assez Chatel en ce moment !

  • C'est qui ce Corgi ????

    Serais-tu en train d'essayer de me rendre jaloux ! ?????

    Si je tombe sur cet ostrogauth, je lui fais la peau illico presto !!!!!

    Dis, Bribri, il est en train de perdre son âme avec tous ces lèches-bottes qui s'étripent pour attirer son attention ..... fais gaffe quand même ...... tu n'es pas tout blanc ............. bonnet ..... blanc ................

  • Une crémation refusée pour surpoids
    AFP
    26/09/2010 | Mise à jour : 21:50 Réagir
    La crémation d'une personne en surpoids a été refusée hier par différents crématoriums de la région bordelaise au motif que la femme décédée était de trop forte corpulence, a-t-on appris aujourd'hui auprès de son entourage.

    "Ma mère, âgée de 63 ans, est décédée dans la nuit de vendredi à samedi d'un arrêt cardiaque et quand on a entrepris les démarches pour son incinération, on m'a dit que ce n'était pas possible car il manquait quelques cm pour que cela passe", a dit à l'AFP, sa fille Marie-Pierre Pelabarrère.

    Selon elle, l'entreprise de pompe funèbre lui a déclaré que le passage dans le four de sa mère, Danielle, qui pesait entre 120 et 140 kg, n'était pas possible ni à Mérignac (Gironde) où résidait la défunte, ni dans le reste du département tout comme dans le Lot-et-Garonne et en Dordogne.

    "Ma mère a toujours dit qu'elle ne voulait pas être enterrée et on est obligé de l'inhumer alors que je sais que c'était sa terreur", a affirmé Mme Pelabarrère, qui entend porter plainte contre la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB) et les différents crématoriums aquitains.

    "Toute sa vie elle a été discriminée et même morte cela continue", a affirmé sa fille, qui regrette que "les gens hors normes n'aient pas droit à un enterrement décent". L'enterrement de Danielle Pelabarrère doit avoir lieu jeudi et ses proches espèrent qu'une solution sera trouvée d'ici là.

    En mars, la crémation d'une personne en surpoids avait été surfacturée à la dernière minute lors de la cérémonie funéraire à Montussan (Gironde) au motif que le défunt pesait plus que prévu.

    .

  • Est-ce qu'ils font des prix pour les personnes anorexiques ?
    auquel cas, il conviendrait de rapprocher les maigres et les gras !

    Moi, je suis plutôt exangue du côté de mon poertemonnaie ..... si Rotschild pouvait faire quelque chose ........ !

  • Oui ben ! elle a qu'à en faire don à la science ou bien à un charcutier-traiteur ...

  • Jean-Michel Bissonnet, un homme d’affaires de 62 ans, a-t-il fait assassiner sa femme, Bernadette, 57 ans, qu’il ne supportait plus, afin d’éviter un divorce et la perte de "son paradis", leur superbe propriété de 4.000 m², à laquelle il était viscéralement attaché? Ce mobile plutôt mesquin va hanter pendant un mois les assises de l’Hérault, qui jugent lundi ce self-made-man ayant fait fortune dans l’immobilier de bureaux. A ses côtés, un tandem improbable: son jardinier algérien, Meziane Belkacem, 51 ans, qui a avoué avoir abattu à sa demande cette pharmacienne retraitée de 57 ans, et son "père spirituel", le vicomte Amaury d’Harcourt, 85 ans, qui a reconnu avoir prêté son concours à cet incroyable assassinat survenu le mardi 11 mars 2008.

    Ce soir-là, vers 22 heures, Jean-Michel Bissonnet, qui rentre de sa réunion au Rotary, découvre le cadavre de son épouse dans le hall de leur maison bardée d’alarmes de Castelnau-le-Lez (Hérault) sur les hauteurs de Montpellier. Celle-ci n’a été ni fouillée ni cambriolée, et le sac de la victime, tuée de deux coups de fusil de chasse, est retrouvé avec 640 euros en liquide. Disparu, le Toyota RAV4 de son épouse, maculé de tâches rougeâtres, est découvert dans le quartier. Etrange. Un ongle suspect est prélevé sur la scène de crime, nettoyée en partie par le sexagénaire qui dira avoir voulu prier près de son épouse.

    Le lendemain, Jean-Michel Bissonnet glisse aux gendarmes avoir refusé un prêt de 5.000 € à son jardinier, qui voulait changer sa vieille R5, et qui connaissait le code d’entrée de la maison. Quand il arrive le 20 mars à la gendarmerie avec son pansement au doigt, ce père de quatre enfants, sans casier judiciaire, avoue rapidement s’être blessé en tirant sur sa patronne à la demande de son mari. Né, lui aussi, en Algérie, ce dernier lui aurait confié être malheureux en ménage et redouter la perte de sa maison en cas de divorce. "Ma femme ne fait plus l’amour, je n’ai plus envie d’elle, j’ai envie de vivre", lui aurait-il avoué. Selon son plan minutieux, Meziane Belkacem, muni de la télécommande du portail, devait récupérer un fusil de chasse à canon scié près du garage, avertir Bernadette Bissonnet qu’il venait chercher son téléphone oublié avant de l’abattre. Il devait ensuite fouiller la maison, ce qu’il a oublié de faire dans la panique, dérober son véhicule et l’abandonner dans le quartier avec l’arme à l’intérieur. Cet assassinat, maquillé en "home-jacking", aurait été rémunéré 30.000 euros. L’employé précisera avoir refusé une avance craignant de se retrouver avec une grosse somme d’argent sur lui… "Il a un emploi précaire, sa femme l’a quitté, il vit seul à l’hôtel, il est en situation d’échec", soutient Me Iris Christol, son avocate. "Il est fasciné par cet homme qui a réussi et qui l’a conditionné depuis plusieurs mois en étant gentil avec lui."

    "Elle mérite de mourir"
    Présent chez son "ami de quarante ans" dans l’après-midi précédant le crime, Amaury d’Harcourt confirme aux gendarmes que Jean-Michel Bissonnet répétait depuis quatre ans avoir envie de liquider une épouse décrite comme dominatrice. Il évoque même devant les gendarmes un détail : elle aurait projeté de refaire la peinture de maison… "Elle mérite de mourir car elle n’est jamais contente de rien", lui aurait dit le mari. Admettant avoir donné des "conseils" au tueur à gages improvisé, l’aristocrate reconnaissait avoir récupéré le fusil de chasse dans le 4 x 4 et l’avoir jeté dans la rivière le Lez, où il sera d’ailleurs repêché.

    Contestant ces deux témoignages concordants qui fondent l’accusation, les avocats de Jean-Michel Bissonnet, eux, martèlent qu’Amaury d’Harcourt, membre d’une association religieuse baptisée Invitation à la vie (IVI), était le véritable instigateur de ce crime. Détesté par Bernadette Bissonnet, qui ne voyait en lui qu’un "pique-assiette" désargenté, il aurait ainsi pu mettre le grappin sur son ami et lui soutirer de l’argent. Ne lui avait-il pas emprunté 15.000 euros un an plus tôt? "Il n’avait pas de besoins financiers et aucun intérêt dans cet assassinat", rétorque Me Louis Balling, son avocat. "D’ailleurs, il ne connaissait pas Belkacem, qu’il n’avait jamais rencontré, comme l’a montré l’étude de leur téléphonie." Ancien éditeur de musique en Afrique, ex-conseiller des Chasses présidentielles à la fin des années 1970, ce notable fantasque, marié à trois reprises, semblait, aux dires de tous, plus intéressé par la chasse près de son château de Saint-Eusoge, dans l’Yonne, et les femmes que par le solde de son compte bancaire.

    Soutenu par ses deux fils, son beau-père et ses amis "rotariens", Jean-Michel Bissonnet, qui encourt avec ses deux coaccusés la perpétuité, dénonce une instruction à charge, pourtant conduite par deux magistrats. Ses avocats pointent de prétendus "mystères": l’absence de sang dans la R5 du jardinier utilisée pour rentrer chez lui, sa réticence à parler d’Amaury d’Harcourt, qui lui avait été présenté comme membre des "services secrets", le nombre de plombs, supérieur à celui théoriquement contenu dans deux cartouches.

    "L’enfant roi qui est dans la toute-puissance"
    L’accusation, elle, rappelle que ce grand chasseur, amateur de golf, s’était inscrit sur des sites de rencontres. "C’était de la curiosité, une sorte de frisson pour cet homme, qui n’a jamais eu de liaison adultère", réplique Me Jean-Marc Darrigade, qui souligne l’absence de projet de divorce et rappelle que leurs proches évoquent un couple uni, marié depuis trente ans."Le mobile n’est pas passionnel mais crapuleux", assure Me Luc Abratkiewicz, l’avocat du frère de la victime, convaincu de la culpabilité de Jean-Michel Bissonnet. "C’est un tueur en affaires qui a une relation pathologique à sa maison, qui a deux piscines, qui est au-dessus du lot", complète Me Iris Christol. "Cette maison, c’est lui, c’est l’emblème de sa réussite."

    Décrit comme extrêmement procédurier et obsédé par l’argent, cet ancien visiteur médical qui percevait avec sa femme 670.000 euros de revenus annuels immobiliers et mobiliers, est soupçonné d’avoir trouvé un plaisir malsain dans la manipulation de ses acolytes et l’élaboration d’un plan machiavélique qui a finalement tourné en eau de boudin. "Bissonnet, c’est l’enfant roi qui est dans la toute-puissance", analyse Me Luc Abratkiewicz, "il a l’argent, la reconnaissance sociale, il voulait tout garder et ne rien perdre".

  • Et pourquoi pas dans les pharma-chiennes éclatées au fusil de chasse ?

  • Ah bah on voit bien que tu n'habites pas à la campagne, tu ne plaisanterais pas avec les fusils ..... en ce moment, nous sommes encerclés par des chasseurs fous qui tirent sur tout ce qui ressemble de près ou de loin à ma concierge, ce qui explique qu'elle reste enférmée dans le garage avec ses chiens, ses chats, ses perroquets et son manteau d'alpaga !!!!!!

Les commentaires sont fermés.