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Comment reconnaître un Corsaire d’un pirate

 

Jean Doublet est un corsaire français, né à Honfleur dans les derniers mois de 1655, et mort le 20 décembre 1728 à Barneville-la-Bertran. Il est le fils de François Doublet, entrepreneur aventureux.

Jean Doublet demeure méconnu, malgré une longue carrière en mer de quarante-huit ans, pour le moins très hétéroclite. Il est le témoin privilégié de l'ensemble de l'histoire maritime de l'époque de Louis XIV, dont il nous a laissé un témoignage poignant. (Wikipédia)

 

Les Corsaires agissaient pour le compte du Roi et obéissaient à un code d’honneur très strict.

Par exemple, le code stipulait que les marins des navires conquis devaient rester libres et surtout vivants.

Les Corsaires prenaient les biens et laissaient les vies.


Les pirates,  quant à eux, oeuvraient pour eux-mêmes, ne respectaient rien et tuaient pour le plaisir de tuer.

 

A chacun de choisir son camp, Corsaire ou pirate  !

 

 

drapeau pirate :

180px-Pirate_Flag_of_Rack_Rackham.svg.png

bateau pirate :

G.jpg


 

 

Commentaires

  • Moi je suis un pirate et un corsaire à la fois, je vais sur le blog de Brighelli où je rafle tous les petits profs que je vends ensuite au marché des esclaves de Candie, malheureusement personne n'en veut plus, les cours sont très bas ! Du coup je suis obligé de couper la langue à ceux qui me restent sur les bras pour en faire des esclaves dociles qui me fouteront la paix et d'en jeter un bon nombre à la baille ...

    La vie est bien dure ... je regrette le temps des Roués !

  • Bien très cher iPidi,
    comme je te comprends !
    Mais tu te trompes ! Il ne faut pas chercher à les replacer sur les marchés des profs, mais les proposer au marché du pôle-emploi, bien plus juteux et beaucoup moins regardant sur la marchandise !

    Bon, c'est pas grave, je sais que tu magouilles en dessous de table avec Brighelli lors d'agapes tartignolles dans des libraires plus que louches.
    En conséquence, ne compte pas sur moi pour m'apitoyer sur le sort de tes similis profs !



    Væ victis
    comme dit ma concierge depuis qu'elle a lu " l'ailée ganse du hérisson".

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