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  • Le grand cirque politique, le foutoir économique, la Grèce antique, l'Espagne pathétique, le Portugal rachitique, Rachida à poil hulule sous la lune !

     

     

    L’exemple de la Grèce est symptomatique de l’Europe et du résultat de l’empressement mis à centraliser et monopoliser le pouvoir pour mieux asservir les peuples.

     

     

    La finance utilise les politiques pour parvenir à leurs fins hégémoniques.

     

     

    L’objectif est de nous rendre entièrement dépendants, esclaves, plus encore que nous sommes déjà, des puissances d’argent : les banques, les groupes pharmaceutiques et les groupes agro-alimentaires.

    Ce sont eux qui mènent le bal et dictent aux politiques et aux syndicalistes leurs décisions.

    Les élections ne sont qu’un leurre destiné à embrouiller le populo, lui faire croire qu’il participe aux décisions alors que les lois sont faites de façon que rien ni personne ne puisse s’immiscer dans le domaine réservé des politiciens.

    Il faut 500 signatures de députés pour présenter sa candidature à la présidentielle. Certes, on nous présente cette contrainte comme une barrière destinée à limiter les candidatures exotiques, mais en fait, cette limitation permet de rejeter tout ce qui ne correspond pas à la volonté des politiques. Cette méthode s’appelle « cooptation ». Elle consiste à créer une caste de personnes limitées ayant accès au pouvoir. Cela n’empêche en rien les candidatures clownesques ….. la preuve, Sarkozy a été élu !

     

     

    Les citoyens ne votent plus car ils n’ont plus de choix !

     

     

    Le NPA, les strotkistes, les communistes, les socialistes ….. sont-ce là les alternatives qu’on nous proposent ?

    C’est du folklore, c’est tout !

     

     

    Mais les citoyens ne sont pas dupes.

     

     

    La preuve, ils sont de plus en plus nombreux à refuser de participer à la farce démocratique.

    Tout cela finira dans la rue !

     

     

    Comme en Grèce où nous assistons, en gros plan, à l’affrontement de la caste dirigeante et financière face au peuple.

     

     

    Il va devenir urgent que les politiques comprennent qu’ils sont les représentants du peuple et non des priviligiés.

     

     

    Sarkozy s’arque boute à son bouclier fiscal car ce sont les riches qui décident !

    Si les citoyens avaient leur mot à dire, pourquoi défendraient-ils un bouclier qui les étouffe ?