En direct à la télé,
le commentateur :
Le pape descend
de sa papa mobile
pour baiser des bébés
et la foule !
mon vieux !
quelle horreur !
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En direct à la télé,
le commentateur :
Le pape descend
de sa papa mobile
pour baiser des bébés
et la foule !
mon vieux !
quelle horreur !
Commentaires
Ne dites pas à ma mère que je suis pape, elle croit que je suis marchand de caudalies !
Il faut dire que ses promesses n'engagent que Dieu ! Il n'est pas aussi con que nos hommes politiques qui promettent la Lune et qui ne sont pas capables de redresser une tringle à rideau !
Je ne suis pas certain de comprendre tes vilaines allusions sur la tringle du pape !! ???
Je te trouve fort peu révérencieux envers sa sein teté !
Tu n'es pas donc pas un adepte du denier du cul-te ?
Je suis adepte du denier dans l'cul à grand coups de pub !
Monsieur Nihilo,
Vous êtes trop fort !
Je suis et reste votre obligé ....
Certains disent qu'Ayrault est devenu la mule du Pape François depuis qu'il est rentré du Vatican !
Ne vous excusez pas monsieur le Pidi, vous n'y êtes pour rien et on vous aime quand même malgré tout .... n'y revenez pas, c'est tout !
J'ai mis un cahuzac dans mon moteur .... depuis, j'ai des dératés !
C'est grave, docteur ?
J'en ai la larme à l'oeil ... les hémorroïdes au portefeuille c'est douloureux !
Confesser l'argent des autres c'est un métier difficile ! Il faut avec une pince à épiler prélever délicatement un bout de gras afin de faire une biopsie du malade imaginaire !
Je reocnnais un type de Droite style Rioufol au fait que pour lui être riche c'est une circonstance atténuante et être pauvre une circonstance aggravante !
... on ne peut être qu'un homme bien quand on a des millions !
http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/03/20/affaire-cahuzac-les-pistes-fournies-aux-enqueteurs-par-un-banquier-de-geneve_1850877_3224.html
Ce qui est certain c'est qu'on dort mieux quand on n'a pas un rond !
C'est pour ça que je refuse les dons inférieurs à dix milliards de dollars.
Twist again à Ablon ?
« Ces gueux-là osent se défendre » disaient les riches émigrés !
La faim justifie les païens !
Chabal : « On est du bétail »
Charal ça se bouffe cru ... la faim justifie les moyens !
Chabal ........................... de ch'val !!!
Le crottin de Chabal j'en fais mes délices ...
bèèèèèè bèèèèèèè
A la nue accablante ...
A la nue accablante tu
Basse de basalte et de laves
A même les échos esclaves
Par une trompe sans vertu
Quel sépulcral naufrage (tu
Le sais, écume, mais y baves)
Suprême une entre les épaves
Abolit le mât dévêtu
Ou cela que furibond faute
De quelque perdition haute
Tout l'abîme vain éployé
Dans le si blanc cheveu qui traîne
Avarement aura noyé
Le flanc enfant d'une sirène.
Apparition
La lune s'attristait. Des séraphins en pleurs
Rêvant, l'archet aux doigts, dans le calme des fleurs
Vaporeuses, tiraient de mourantes violes
De blancs sanglots glissant sur l'azur des corolles.
- C'était le jour béni de ton premier baiser.
Ma songerie aimant à me martyriser
S'enivrait savamment du parfum de tristesse
Que même sans regret et sans déboire laisse
La cueillaison d'un Rêve au coeur qui l'a cueilli.
J'errais donc, l'oeil rivé sur le pavé vieilli
Quand avec du soleil aux cheveux, dans la rue
Et dans le soir, tu m'es en riant apparue
Et j'ai cru voir la fée au chapeau de clarté
Qui jadis sur mes beaux sommeils d'enfant gâté
Passait, laissant toujours de ses mains mal fermées
Neiger de blancs bouquets d'étoiles parfumées.
En envoyant un pot de fleurs
Minuit au vieux beffroi : l'ombre dort, et la lune
Se joue en l'aile noire et morne dont la nuit,
Sombre corbeau, nous voile. Au ciel l'étoile fuit.
- Mille voix du plaisir voltigent à moi : l'une
M'apporte ris, baisers, chants de délire : suit
Une fanfare où Strauss fait tournoyer la brune
Au pied leste, au sein nu, que sa jupe importune.
- Tes masques ! carnaval ! tes grelots ! joyeux bruit ! -
Et moi, je dors d'un oeil, et je vous dis, Marie,
Qu'en son vase embaumé votre fleur est ravie
D'éclore sous vos mains, et tressaille au bonheur
De vivre et se faner un soir sur votre coeur !
- Ah ! d'une aurore au soir dût s'envoler ma vie
Comme un rêve, fleurette, oui, ton sort, je l'envie !
Hérodiade - Cantique de saint Jean
Le soleil que sa halte
Surnaturelle exalte
Aussitôt redescend
Incandescent
Je sens comme aux vertèbres
S'éployer des ténèbres
Toutes dans un frisson
A l'unisson
Et ma tête surgie
Solitaire vigie
Dans les vols triomphaux
De cette faux
Comme rupture franche
Plutôt refoule ou tranche
Les anciens désaccords
Avec le corps
Qu'elle de jeûnes ivre
S'opiniâtre à suivre
En quelque bond hagard
Son pur regard
Là-haut où la froidure
Éternelle n'endure
Que vous le surpassiez
Tous ô glaciers
Mais selon un baptême
Illuminée au même
Principe qui m'élut
Penche un salut.
Je n'avais plus que 5 euros sur moi, j'ai décidé de recharger mon portemonnaie. Mais le distributeur refuse de me donner les 300.000 euros qie j'essaie de retirer avant que les banques ferment !
Que faire ?
... Mélenchon a la solution : tu braques ton banquier qui sera trop content de te verser trois milliards à toi qui est un petit épargnant modèle ! Ah ! j'oubliais : est-ce que tu parles russe ?
Da da !