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Porco miseria ! habemus papam éroticam et pedofiliam !

En direct à la télé,


le commentateur :

 

Le pape descend


de sa papa mobile


pour baiser des bébés


et la foule !

 

 

mon vieux ! 


quelle horreur !

Commentaires

  • Il faut dire que ses promesses n'engagent que Dieu ! Il n'est pas aussi con que nos hommes politiques qui promettent la Lune et qui ne sont pas capables de redresser une tringle à rideau !

  • Monsieur Nihilo,


    Vous êtes trop fort !


    Je suis et reste votre obligé ....

  • Certains disent qu'Ayrault est devenu la mule du Pape François depuis qu'il est rentré du Vatican !

  • Confesser l'argent des autres c'est un métier difficile ! Il faut avec une pince à épiler prélever délicatement un bout de gras afin de faire une biopsie du malade imaginaire !

  • Je reocnnais un type de Droite style Rioufol au fait que pour lui être riche c'est une circonstance atténuante et être pauvre une circonstance aggravante !

    ... on ne peut être qu'un homme bien quand on a des millions !

  • http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/03/20/affaire-cahuzac-les-pistes-fournies-aux-enqueteurs-par-un-banquier-de-geneve_1850877_3224.html

  • Ce qui est certain c'est qu'on dort mieux quand on n'a pas un rond !
    C'est pour ça que je refuse les dons inférieurs à dix milliards de dollars.

  • Chabal : « On est du bétail »

    Charal ça se bouffe cru ... la faim justifie les moyens !

  • Le crottin de Chabal j'en fais mes délices ...

  • A la nue accablante ...

    A la nue accablante tu
    Basse de basalte et de laves
    A même les échos esclaves
    Par une trompe sans vertu

    Quel sépulcral naufrage (tu
    Le sais, écume, mais y baves)
    Suprême une entre les épaves
    Abolit le mât dévêtu

    Ou cela que furibond faute
    De quelque perdition haute
    Tout l'abîme vain éployé

    Dans le si blanc cheveu qui traîne
    Avarement aura noyé
    Le flanc enfant d'une sirène.

  • Apparition

    La lune s'attristait. Des séraphins en pleurs
    Rêvant, l'archet aux doigts, dans le calme des fleurs
    Vaporeuses, tiraient de mourantes violes
    De blancs sanglots glissant sur l'azur des corolles.
    - C'était le jour béni de ton premier baiser.
    Ma songerie aimant à me martyriser
    S'enivrait savamment du parfum de tristesse
    Que même sans regret et sans déboire laisse
    La cueillaison d'un Rêve au coeur qui l'a cueilli.
    J'errais donc, l'oeil rivé sur le pavé vieilli
    Quand avec du soleil aux cheveux, dans la rue
    Et dans le soir, tu m'es en riant apparue
    Et j'ai cru voir la fée au chapeau de clarté
    Qui jadis sur mes beaux sommeils d'enfant gâté
    Passait, laissant toujours de ses mains mal fermées
    Neiger de blancs bouquets d'étoiles parfumées.

  • En envoyant un pot de fleurs

    Minuit au vieux beffroi : l'ombre dort, et la lune
    Se joue en l'aile noire et morne dont la nuit,
    Sombre corbeau, nous voile. Au ciel l'étoile fuit.
    - Mille voix du plaisir voltigent à moi : l'une

    M'apporte ris, baisers, chants de délire : suit
    Une fanfare où Strauss fait tournoyer la brune
    Au pied leste, au sein nu, que sa jupe importune.
    - Tes masques ! carnaval ! tes grelots ! joyeux bruit ! -

    Et moi, je dors d'un oeil, et je vous dis, Marie,
    Qu'en son vase embaumé votre fleur est ravie
    D'éclore sous vos mains, et tressaille au bonheur

    De vivre et se faner un soir sur votre coeur !
    - Ah ! d'une aurore au soir dût s'envoler ma vie
    Comme un rêve, fleurette, oui, ton sort, je l'envie !

  • Hérodiade - Cantique de saint Jean

    Le soleil que sa halte
    Surnaturelle exalte
    Aussitôt redescend
    Incandescent

    Je sens comme aux vertèbres
    S'éployer des ténèbres
    Toutes dans un frisson
    A l'unisson

    Et ma tête surgie
    Solitaire vigie
    Dans les vols triomphaux
    De cette faux

    Comme rupture franche
    Plutôt refoule ou tranche
    Les anciens désaccords
    Avec le corps

    Qu'elle de jeûnes ivre
    S'opiniâtre à suivre
    En quelque bond hagard
    Son pur regard

    Là-haut où la froidure
    Éternelle n'endure
    Que vous le surpassiez
    Tous ô glaciers

    Mais selon un baptême
    Illuminée au même
    Principe qui m'élut
    Penche un salut.

  • Je n'avais plus que 5 euros sur moi, j'ai décidé de recharger mon portemonnaie. Mais le distributeur refuse de me donner les 300.000 euros qie j'essaie de retirer avant que les banques ferment !

    Que faire ?

  • ... Mélenchon a la solution : tu braques ton banquier qui sera trop content de te verser trois milliards à toi qui est un petit épargnant modèle ! Ah ! j'oubliais : est-ce que tu parles russe ?

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