Voilà son annonce :
Appel à participation :
Voir, Décrire, numéro d´Images Re-vues, Institut National d´Histoire de l´Art, Paris, France.
Bonjour,
Voici l´appel à contributions concernant le numéro d´Images Re-vues que je
coordonne. Si le sujet vous intéresse, ce que j´espère vivement, les
articles doivent parvenir à la rédaction (Images Re-vues, Institut
National d´Histoire de l´Art, 2 vue Vivienne, 75002 Paris) avant la fin du
mois de juin.
Cordialement,
Karim Ressouni-Demigneux
Karim.Ressouni-Demigneux@ehess.fr
Voir, Décrire
« Qu’est-ce que l’histoire ? », se demande Paul Veyne en ouverture de
Comment on écrit l’histoire. « L’histoire est un roman vrai », ce qui
implique « narration », « récit », « effet littéraire » : une écriture.
L’histoire s’écrit donc, et derrière l’évidence se cachent des choix ou
des possibilités stylistiques qui n’osent dire leur nom. Comme tout
historien, l’historien de l’art écrit, et il est fascinant d’observer que
dès son origine la discipline s’est, par l’écriture, mesurée à l’objet de
son étude. Des morceaux de bravoure de Vasari aux propositions enchâssées
des structuralistes, en passant par la poésie de Walter Pater, la langue
des historiens de l’art est également le reflet de leur rapport à l’art.
Par ailleurs la description des œuvres n’est pas seulement un genre, mais
un passage obligé qui est l’indice le plus sûr du regard de l’historien.
Le récit est également une source majeure de la réception des oeuvres,
comme des conditions de leur production, et le regard de l´historien est
bien souvent informé par ces mots qui structurent l´analyse.
Ce sont donc toutes ces problématiques, et d’autres mettant en jeu la
transmutation du visible en lisible, que nous souhaitons rassembler dans
ce dossier qui, comme tous les dossiers d´Images Re-vues, entend croiser
les approches historiques, théoriques et anthropologiques sur l´art.
Ma réponse :
transmutation de mes vessies en lanternes !!!!!!!!!
20-05-2007 12:41 - Les discussions
Pour commencer, j´ai écrit à ce môssieur.
Me suis fait éconduire (par non réponse à ma demande de précisions) comme un bourricot qu´on renvoie braire au pré, seul endroit où il soit digne de pâturer.
Mais à la re-lecture de ‘voir décrire’ ci-dessus, je comprends mieux cette éviction.
Je ne possède, en effet, pas ce style « affecté » pour ne pas dire « ampoulé », riche en mots abscons formant des phrases parfaitement cocasses, exigé par l´offre.
==> « L’histoire s’écrit donc, et derrière l’évidence se cachent des choix ou des possibilités stylistiques qui n’osent dire leur nom. »
Ca commence fort ! voici une ‘évidence’ qui a bon dos puisque derrière elle se cachent des choix ou des possibilités stylistiques n’osant dire leur(s) nom(s) (à moins qu’elles ne partagent toutes le même ? ) ! ?
Celle ou celui qui me traduit ça en bon français bien ras les pâquerettes, compréhensible par le commun des mortels qui n’ont pas tous fait 40 années d’études payées par papa …. a gagné un paquet de gaufrettes pur beurre.
Qu’on m’amène ici cette ‘évidence’ que je lui fasse cracher les noms !!!!!
Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin …..
==> « Comme tout historien, l’historien de l’art écrit, et il est fascinant d’observer que dès son origine la discipline s’est, par l’écriture, mesurée à l’objet de son étude.
Moi, j’aurais résumé par une phrase mieux en adéquation avec le concept du syllogisme énoncé : « l’historien d’art se mord la queue ».
Mais bon, j’ai été recalé …… doit bien y avoir une raison !
Allez, on continue, c’est trop marrant !!!!!
==> Des morceaux de bravoure de Vasari aux propositions enchâssées des structuralistes, en passant par la poésie de Walter Pater, la langue des historiens de l’art est également le reflet de leur rapport à l’art.
Ah ouais ! la poésie de Walter Pater (noster) fallait oser ! Moi, j’aurais dit Apollinaire, ou Musset, ou Baudelaire ….. jamais j’aurais pensé à Walter Pater !!!!!
Encore une bonne raison de me snober !
En tout cas, je ne savais pas que Vasari avait été historien de l’art (si je sais encore lire !!!)
==> Par ailleurs la description des œuvres n’est pas seulement un genre, mais un passage obligé qui est l’indice le plus sûr du regard de l’historien.
Le récit est également une source majeure de la réception des oeuvres, comme des conditions de leur production, et le regard de l´historien est bien souvent informé par ces mots qui structurent l´analyse.
Vous, je sais pas …. Mais moi, je commence à bailler !!!! Celui qui a écrit ça a oublié de se relire ….. sinon, il se serait demandé si c’est l’œuvre qui compte ou le récit qui l’enchâsse ?
D’ailleurs, on notera judicieusement que c’est exactement ce qui est fait dans les salons contemporains pour expliquer l’inexplicable, i.e. « le non art abstrait ».
==> « Ce sont donc toutes ces problématiques, et d’autres mettant en jeu la transmutation du visible en lisible, que nous souhaitons rassembler dans ce dossier qui, comme tous les dossiers d´Images Re-vues, entend croiser les approches historiques, théoriques et anthropologiques sur l´art. »
Ah !!!!!! la transmutation du visible en lisible !!!!!!!!!
C’est un peu comme le têtard en grenouille, la larve vorace en libellule, le caterpillar en papillon …….. mes vessies en lanternes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Bref, ce môssieur me semble surtout être le maître du parler pour ne rien dire.
J’ai bien fait de me voir refusé !!!!!!!!!!!!!!!!
Dites-donc, j'y pense ! rien ne vous empêche de lui répondre si vous comprenez son langage.
Commentaires
Je suis le roi des émoticoncons !!!!
Tu en as des relations, toi !
C'est pas le tout ça, mais moi j'ai mes oeufs durs à manger et c'est autre chose à avaler que de vulgaires cacas nerveux d'esthéticien que personne ne lit ...
Yfig fait sa fierté de son ignorance epicée d'une incapacité à comprendre un texte pourtant simple. Il a raison, c'est bien la seule chose grande (très grande, même) chez lui.
Les cons, ça ose tout, même se vanter de leur nullité. C'est d'ailleurs à ça (aussi) qu'on les reconnait.
Tu le connais ce Marc Galan qui n'a pas l'air du tout galant d'autre part - mais faut-il le lui dire ?
Bah ! Je vais lui apprendre à danser à ce petit marquis de mes deux !
Je préfère encore être un petit marquis qu'un gros plouc, Pidiblue sujet à des diarrhées fréquentes
Intéressantes, les peintures. Je comprends que ça n'ait pas pu coller avec le "mossieur".
Très drôle, ce Mr Galan. Un peu méchant, aussi, mais pas bête du tout, comme on ne disait pas à Hara-kiri
iPidiblue ! Putain de petit galant de mes deux, il écorche mon nom de famille porté fièrement depuis deux cent générations d'internautes ...
Tiens, j'écorche le nom de Pidiblue. Il signe pourtant Pidiblue. C'est vrai que ça sonne mieux qu'Yfig, surtout pour se répondre qu'on est génial.
Cher, très cher monsieur balajo,
vos propos n'engagent que vous même, et si vous connaissiez l'asticot, vous renonceriez à la pêche.
NYPD rose,
ce gentleman, qui se grise de mots qu'il a dû vérifier par trois fois dans le dictionnaire avant de les tartiner sur mon blog, est un écriveur.
Ce garçon écrit une saga digne d'ubu (au sens syncrétique) et que daumier trouverait bien du plaisir à illustrer.
Je me suis permis, Ô infâme que je suis, de lui prodiguer (à titre purement bénévole) quelques judicieux conseils qu'il a cru bon ignorer.
Je crois qu'il rumine comme une espèce de ressentiment à mon égard, ressentiment qu'il exprime avec ses propres codes que d'aucuns (comme balajo, par exemple) semblent apprécier, ignorants qu'ils sont des détails, parfois épicés, de cette malencontreuse rencontre (pour qui pour quoi ..... va savoir !)
Voilà, je t'ai tout dit, et si j'en ai oublié c'est que je ne m'en souviens plus.
Ra Ri Ro Ru Bo Ba Bi Bu Be : ARTICULE ! On ne comprend rien à ce que tu racontes galantine de foie de volaille !
Si un non-écrivain officiel correspond avec un non-peintre officiel, qu'est-ce que ça fait ? Des bulles ...
Mon petit Marco,
va falloir que tu te paies un nouveau dentier si tu espères croquer un peu de mon cuir ! Et ne lésine pas sur le prix ni la matière (dure la matière, très dure!!!).
Je sais que tu ne comprendras pas un traître mot à cette phrase, mais je m'en bats les roubignolles et te conseille (décidément je suis en veine) de mesurer tes propos si tu ne veux pas que je te traite comme un roupieux sous la poue du marieux !!!!!
Officiel ! ?
Tu espères une médaille ?????
Il me plait bien ton copain Marco, mon petit Yfig, mais où tu les déniches les non-écrivains officiels, c'est un élevage secret dans le fin fond des Landes ?
J'ai toujours eu un faible pour les divertissements faciles, les lectures écervelées, les auteurs ratés ........
Mais parfois, je me sens obligé de vérifier que je n'ai pas tout à fait perdu la main et que je suis encore capable de lire un véritable auteur !
Quand je me suis remis à l'informatique en août 2006, ça m'a fait le même effet : des maux de tête à hurler sous la lune avec les loups les renards les belettes et les facteurs !!!!!
Le cerveau est un muscle ordinaire qu'il convient d'entretenir régulièrement par des exercices appropriés !
Le laisser aller à des lectures vaines (le cerveau) c'est le rendre mou comme une bite au repos ... d'ailleurs, le sexe aussi est un muscle qu'il convient d'exercer avec zèle !
Où en étais-je ?
Parfois, je me demande si je ne perds pas la tête ?????
vous reprendrez-bien un peu d'extasie ?
Moi c'est l'absinthe mais on ne la trouve plus dans les bons bistrots de Paris, je suis obligé d'aller jusqu'à Honfleur, la patrie d'Alphonse Allais, pour m'y nourrir et abreuver convenablement !
Il me vient une idée saugrenue !!!!
Si jamais marco écrit au môssieur des hautes zétudes, celui-ci risque l'apoplexie !!!!!!!!!!!!!!!!
Tu sais les grands esprits se rencontrent toujours ...
Au fait Pierre Gilles de Gennes est mort, quand il avait un moment de libre il allait sur les quais de Seine un carton à dessins sous le bras et il faisait un petit croquis du paysage ... tu vois lui aussi se distrayait la tête avec les beaux-arts !
Alors dis-donc, si jamais tu projettes de venir sur mes terres, préviens-moi, je t'inviterai peut-être au restaurant "l'absynthe", sinon on ira au couscous à Pont l'Evêque !
74 ans, c'est jeune !
Je crois qu'à une époque on lui a reproché de s'approprier les études de ses collaborateurs (?) !
Bah ! je croyais que c'était une règle générale ..... en tout cas, j'ai une longue liste de noms .........
Le crouteur Yfig qui juge les peintures d'autrui. L'écrivaillon (et c'est une louange, au regard de son talent) Yfig qui juge de l'écriture d'autrui. On aura tout vu.
J'admire les autodidactes qui ont du talent, du vrai, et ne se la pètent pas. Mais ceux qui ont visiblement arrêté après le certif (raté, d'ailleurs) et se jugent supérieurs à ceux qu'ils ne comprennent pas parce qu'ils sont trop ignorants pour ça, lol.
Ne te fatigue plus (ou fatigue-toi si tu veux, le chomedu a l'air de te laisser des loisirs) à me laisser tes coms à la con. J'ai décidé, puisque j'étais un petit marquis, que je me déclassais à répondre à tes pauvretés.
Porte-toi
Yfig n'écoute pas les mauvaises langues ! On a pu dire cela de n'importe quel scientifique qui travaillait en équipe et qui a récolté tous les lauriers !
Je n'excuse rien ni personne ....
Moi, mes collaborateurs récoltaient les lauriers pendant que je me faisais virer !
Mais c'est vrai que c'est une toute autre histoire ............
La seule découverte que j'ai faite, c'est qu'il ne faut pas retoucher à une vague quand elle est bien faite .... ça prend trop de temps pour y revenir !!!!!
J'ai lu les textes de Marc Galan et ceux de Yfig. Eh bien, comme on dit, y'a pas photo.
Désolé, Yfig
A La Crustace, à la crustace... l'enseigne du clubbing restaurant en province se balance...
Ce soir, nous dînons avec Monsieur le Député Xsseq, Monsieur Bieno lui présente :
- Madame De Lajambiere est la femme de Monsieur Jambono, cinéaste très prisé à Paris
- Oui oui, bien sur ! dit Ben Ouihoui.
- Veuillez m’excuser, voici la carte des vins, dit le garçon
- Un petit Cahors, mes amis ? Suggère le Député Xsseq.
- Absolument, n’est-ce pas ? dit Monsieur Bieno.
Tout le monde acquiesce.
Madame De Lajambière commande : - un foie bien gras.
Monsieur Bieno : - une autruche aux truffes !
Monsieur Xsseq hésite, une spécialité de la région : - un poivron flambé au porto avec crème anglaise.
Monsieur Bieno en reprend deux fois, bien sûr, et en profite pour plaisanter sur la foi de Madame De Lajambiere :
- Oui Floflo, est une artiste contemporaine, elle travaille sur le crucifix, parabole mathématique de l’angle droit.
- Bien sur, dit Ben Ouihoui.
- Ben Ouihoui est aussi parmi nous avec sa femme Plumplum dite La crustace, dit Bieno
- Je veux un canard laquais SVP, dit-elle avec son bien connu cheveu sur la langue.
- Avec queue de pie marinée, Madame ?
- Non, avec martinet sur œufs de lampes, dit Plumplum.
- Et vous Monsieur ? demande le garçon.
- Moi, ce sera un cancan hardlaïq SVP. dit Monsieur le Député Xsseq.
signé :
"M. Galan, Paris 2007, critique d'art."
..... à suivre .....
euh, c'est "oeufs de lump"
mais c'est bon qund même !!!!!
je sais pas si le canards font souvent office de laquais ?
Mais je cois savoir qu'ils aiment la laque qui font leurs cheveux bien laqués !!!!
On dirait du M.Galan .... i.e. du français de chez à peu près .... une étrangère, peut-être ? et dans ce cas, je suis certain de ne pas maîtriser sa langue comme elle possède la notre ni même celle de chez le nôtre :)